I came for couscous #4
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I Came For Couscous is an independent magazine highlighting unique voices and creative minds from Arab cultures and backgrounds. Interweaving pluralistic individual narratives, the magazine champions the values of multiculturality and otherness for connected and curious readers who explore the world around them with engagement and freedom.
DESCRIPTIF
Au sommaire du numéro 04 :
Premier Acte
Le premier acte interroge les identités, le sens d’appartenance, le prix de la liberté, le lien à l’Autre. Il démarre par un entretien croisé entre deux esprits créatifs lumineux, inspirants, le compositeur, écrivain et interprète libanais Hamed Sinno et l’écrivain et cinéaste marocain Abdellah Taïa. Il se poursuit par une multitude de réponses à la question « Être Arabe : Qu'est-ce que cela signifie pour toi ? » d’un point de vue non-arabe.
Deuxième Acte
Au deuxième acte : un jardin face à la mer, perché sur les collines du pays Jbala, où la constance d’Umberto Pasti unie à l’aide des villageois, (re)crée du lien en protégeant le vivant ; les photographies d’Ismail Zaidy font danser les face à face entre désirs d’alliances, impasses et points de bascule ; Rehab Eldalil et les bédouins du Sud Sinaï archivent les pouvoirs médicinaux des plantes dans un Guide de la Flore.
Troisième Acte
Dans ce troisième acte, de la mode et un supplément d’âme. Un entretien avec Tatiana Fayad et Joanne Haye, les cofondatrices de Vanina, une marque qui brille autant par ses créations pointues que par ses engagements. Un concours, initié par ICFCC et le musée Yves Saint Laurent Marrakech, démontre, au travers de la création, qu'il n’y a pas de frontières, seulement des échanges instructifs, créatifs, qui deviennent des expériences enrichissantes.
Quatrième Acte
Au quatrième acte, le passé se tisse au présent : Mina Abouzahra ouvre un dialogue entre designers néerlandais et tisserandes marocaines, dans le but de préserver le savoir-faire ancestral féminin du tapis amazigh ; le vinyle, porté par une poignée de diggers, de musiciens, de producteurs et de mélomanes, remet les musiques arabes du siècle dernier au goût du jour.
Cinquième Acte
Au cinquième acte, on s’invite à la table des diasporas juives-arabes, et on convoque les souvenirs d’un ingrédient, plat, ustensile ou odeur, ainsi que les rites et rituels qui l’entourent, qui font office de liant – voire parfois d’unique lien – avec leurs racines nord-africaines et arabes.
DESCRIPTIF
Au sommaire du numéro 04 :
Premier Acte
Le premier acte interroge les identités, le sens d’appartenance, le prix de la liberté, le lien à l’Autre. Il démarre par un entretien croisé entre deux esprits créatifs lumineux, inspirants, le compositeur, écrivain et interprète libanais Hamed Sinno et l’écrivain et cinéaste marocain Abdellah Taïa. Il se poursuit par une multitude de réponses à la question « Être Arabe : Qu'est-ce que cela signifie pour toi ? » d’un point de vue non-arabe.
Deuxième Acte
Au deuxième acte : un jardin face à la mer, perché sur les collines du pays Jbala, où la constance d’Umberto Pasti unie à l’aide des villageois, (re)crée du lien en protégeant le vivant ; les photographies d’Ismail Zaidy font danser les face à face entre désirs d’alliances, impasses et points de bascule ; Rehab Eldalil et les bédouins du Sud Sinaï archivent les pouvoirs médicinaux des plantes dans un Guide de la Flore.
Troisième Acte
Dans ce troisième acte, de la mode et un supplément d’âme. Un entretien avec Tatiana Fayad et Joanne Haye, les cofondatrices de Vanina, une marque qui brille autant par ses créations pointues que par ses engagements. Un concours, initié par ICFCC et le musée Yves Saint Laurent Marrakech, démontre, au travers de la création, qu'il n’y a pas de frontières, seulement des échanges instructifs, créatifs, qui deviennent des expériences enrichissantes.
Quatrième Acte
Au quatrième acte, le passé se tisse au présent : Mina Abouzahra ouvre un dialogue entre designers néerlandais et tisserandes marocaines, dans le but de préserver le savoir-faire ancestral féminin du tapis amazigh ; le vinyle, porté par une poignée de diggers, de musiciens, de producteurs et de mélomanes, remet les musiques arabes du siècle dernier au goût du jour.
Cinquième Acte
Au cinquième acte, on s’invite à la table des diasporas juives-arabes, et on convoque les souvenirs d’un ingrédient, plat, ustensile ou odeur, ainsi que les rites et rituels qui l’entourent, qui font office de liant – voire parfois d’unique lien – avec leurs racines nord-africaines et arabes.
- 27,5x21cm
- French/English
- 2023