Magma s'associe au Centre Pompidou pour faire renaître les enquêtes surréalistes dans une édition spéciale de la revue (au format journal grand format) qui célèbre les cent ans du mouvement et l'exposition rétrospective organisée par le Musée National d'Art Moderne.

Cette édition spéciale réunit plus de 150 artistes, écrivain(e)s, musicien(ne)s, cinéastes, photographes, designers, et universitaires du monde entier.
Ces contributions inédites, publiées dans un journal qui mêle oeuvres visuelles et textuelles, viennent ainsi compléter les réponses proposées par les Surréalistes en leur temps.

Parmi les contributeurs, on compte notamment Patti Smith, Georg Baselitz, Wolfgang Tillmans, Elizabeth Peyton, Anne Imhof, Hélène Delprat, Leïla Slimani, Yannick Haenel, Kamel Daoud, Leos Carax, Thomas Bangalter, Marina Abramović, Ed Ruscha, Jacques Audiard, Étienne Daho, Mohamed Bourouissa, Barbara Chase-Riboud, Xinyi Cheng, Erri De Luca, Ólafur Elíasson, William Kentdridge, Simone Fattal, Laure Prouvost, Nicolas Godin, Thomas Hirschhorn, Amin Maalouf, Mohamed Mbougar Sarr, Paul McCarthy, Annette Messager, Peter Saville, Erwin Wurm, Andra Ursuţa, Kiki Smith, Orhan Pamuk, Patrick Chamoiseau, Christine Angot, Maylis de Kerangal, Marie Darrieussecq, Nicolas Mathieu, Emma Becker, et de nombreuses voix contemporaines, de générations, de styles et d'horizons différents.

Pour ces « Nouvelles Enquêtes Surréalistes », la revue Magma s'associe aux équipes du Centre Pompidou dans un comité éditorial composé de Didier Ottinger et Marie Sarré, les deux commissaires de l'exposition, Jean-Max Colard, chef du Service de la Parole au Centre Pompidou et ses équipes. Inspiré par la tradition des revues surréalistes, ce journal offre un regard nouveau sur l'art et la littérature. Il est le lieu d'une rencontre spontanée entre le public et les artistes, d'une plongée dans l'intimité de leur regard sur le monde et sur eux-mêmes.

Grand format sur papier journal, les Nouvelles Enquêtes Surréalistes de Magma et du Centre Pompidou forment, par l'ensemble de leurs contributions inédites, ce « lieu géométrique des coïncidences » (André Breton), l'endroit même où le surréalisme retrouve sa raison d'être.